L'officiel
Si vous visitez le site, c'est certainement que vous avez reçu un faire-part de notre part (ou alors que vous êtes un gros curieux qui se balade, mais on ne vous en veut pas), et que depuis vous le conservez religieusement entre une bonne facture EDF du mois de janvier et un magazine télé périmé.
Mais certains ne sont pas aussi précautionneux, et c'est à eux que cette page s'adresse.
En effet, pour vous, la vie n'est qu'une suite de complications. Dans l'euphorie qui n'a pas manqué de suivre l'ouverture de l'enveloppe, vous la laissez échapper de vos doigts étourdis, et c'est le drame. En tentant maladroitement de la rattraper, vous renversez la cafetière pleine de café (tiens!) que vous teniez dans l'autre main (lourde coïncidence) sur votre jambe, qui soubresaute sous l'effet de la brûlure, et vous fait choir dans votre salon, votre jambe valide harponnant au passage la grand plante verte du salon qui vient s'affaler sur vous, décrochant du même coup 2 ou 3 tableaux qui finissent sur le coin de votre nez. Rideau noir.
Votre avenir dans cette mare de café semble donc bien compromis, et les messieurs qui vous évacuent ne pensent pas forcément à garder la pièce à conviction de ce drame. Et depuis la sortie de votre 42ème séjour à l'hôpital cette année, ô douleur immense, impossible de remettre la main dessus.
Voici donc le faire-part que vous avez reçu dans votre boîte aux lettres, avant de l'égarer :
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